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L'archer poète
15 février 2006

Me voici, me voilà !

Salut à tous et à toutes qui font partis ou qui visitez ce site !

Je voulais tout d'abord, je veux remercier John Craft qui m'a permis d'intégré le site, malgré le faite que je fais beaucoup de fautes...et je vous avertis tout de suite, je suis un québecois, donc, que je n'utilise pas toujours les même mots que vous, les Européens. Comme toute première oeuvre sur ce site, j'ai produis un poème juste pour cette occasion spéciale. Il s'intitulera ''Le temps d'un espoir...'' mais, par contre, je ne vous en dis pas plus sur ce qu'il peut contenir...à vous de le découvrir...

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Le temps d'un espoir...

Je relève mon visage de contre la terre,

Là où précédemment il s’était frapper comme un éclair,

Quel était ce visage d’ange qui pendant un moment,

C’est montré à moi comme si on se connaissait mais j’en doute, pourtant…

Je regarde autour de moi et je ne vois que de l’horreur,

Que s’est-il passe, rien ne me reviens, j’en ai bien peur,

Il me résonne encore des cris de souffrance et de douleur,

Je me retrouve soudainement debout, paralysé par la peur.

Qu’es ce que je fais sur cette terre rouillée,

Où des ennemis, tout autour, tuent sans le regretter,

Tout semble un peut plus calme, maintenant,

Et je me retourne lentement pour faire face à un assaillant.

Il a le sourire au visage, vilaine, comme image,

Il semble si certain du coup qu’il portera, cette fois,

Je n’ai pas l’intention de le laisse s’approcher de moi,

Je suis plus rapide, plus petit et transparent comme un nuage.

Nos regards se fixent pendant un long moment,

Puis il se décide à passer à l’attaque, dans un coup de vent,

Tout en levant sa hache il lève aussi son bras,

Mais ce qu’il n’a pas vu, c’est que je suis derrière lui, déjà.

Je saute alors en prenant tout mon élan,

Toujours minutieusement, je me fonds avec le vent,

Je lève alors mon épée en position verticale,

Pour la laisser tomber, tranchante, le long de sa colonne vertébrale.

Il tombe sur cette terre,

Agonisant et cherchant son air,

Mais voilà que j’aperçois du sang sur sa hache,

Je touche derrière ma tête…mais qu’elle est cette tache ?

(Séparation ! Puisqu'elle ne semble pas vouloir faire...^^')

Il avait donc réussit à me porter un coup,

C’était pourquoi je me retrouvais précédemment à genoux,

J’ai mal, je souffre et retombe par terre,

Le regard dans le vide, je revois l’ange qui m’éclaire…

Je me sens libre et soulagé,

Cette souffrance m’a soudainement libérée,

Mon corps je suis en train de quitter,

Puisque je m’envole déjà vers ma nouvelle destinée….

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Commentaires
N
Hehe, aucun problèmes. Je suis de ceux qui adorent remettre en question ce qui est sensé être et défaire les barrières.
L
Desoler à toi qui prenait une certaine defense à mon egard....j'ai mal interprête ce poème...merci ;)
L
Tu n'aime pas ce que j'ai fait juste parce que c'est different ?
N
Il est un peu facile de deviner que je m'amuse à écrire, comme tous les gens ici je crois bien, et je me suis d'ailleurs amusé à écrire un petit quelque chose il y a quelques mois de cela. Le titre de cet écrit est "Poutine". <br /> <br /> Pour ceux qui sont étrangers à ce qu'est la poutine, il s'agit d'un met typiquement québécois et très peu digne de la haute gastronomie : mélange entre une sauce brune (BBQ la plupart du temps), du fromage et des frittes. Les frittes constituent la couche inférieure, le fromage est sur le dessus et ensuite, on ajoute la sauce (très chaude) qui fait fondre le fromage (habituellement râppé) sur les frittes. Mium mium! Tout ça pour dire qu'une poutine est un mélange de trucs pas très appétissant et pas du tout calculer qui finalement a donné un résultat intéressant. J'crois que ça décrit plutôt bien cet "oeuvre" là! <br /> <br /> Et si pendant un instant je ne pensais qu’à écrire,<br /> Au diable les lois, les règles et ce qui doit être ;<br /> Placer en mots mes pensées et même ce qui a de pire...<br /> Qui m’empêchera mes écrits de naître?<br /> Je pourrais même ajouter deux lignes à un quatrain,<br /> Démolissant la mesure et la rime ; victime attachée, passe le train.<br /> <br /> L’art serait-il encore de l’Art, si seulement il fut un jour!<br /> Au lieu de sonnets carrés je vous offre qu’un paquet de flèches,<br /> Partant toutes dans des directions opposées, tel les flammèches<br /> D’un feu ; rejets de combustion, on aurait du fermer la porte du four!<br /> <br /> Le plus amusant de cette charmante histoire,<br /> Est qu’on n’y trouve aucune morale ;<br /> N’est-ce pas là une leçon en soit à raconter le soir?<br /> <br /> C’était là une rime facile, mais tous le font, c’est normal ;<br /> La nuit est un beau symbole, n’importe où il sera écrit,<br /> Je laisserai les lecteurs imaginer ce qu’ils pensent avoir compris.<br /> <br /> Oups, encore une ligne de trop! Je devrais pourtant être exécuté ;<br /> Je n’apprends pourtant pas de mes erreurs, et je recommence,<br /> Encore et encore car je ne suis qu’un idiot entêté ;<br /> On passe pour des marginaux, mais personne ne sait ce que j’en pense.<br /> <br /> Ce qui peut paraître intelligent n’est qu’une copie,<br /> Car l’histoire du rejet n’est pas de moi, mais de Nelligan ;<br /> Ai-je un mérite dans ce monde impie?<br /> Aucun, et le blâme d’avoir fait rimer un si grand artiste avec un gans.<br /> <br /> La morale de l'histoire: si tous les peintres s'étaient appliqués à se plier aux lois, Piccasso et tous ses amis n'auraient jamais existés.
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